Ministère des Droits de l'Homme -Togo

Ministère des Droits de l'Homme -Togo Ministère des Droits de l’Homme, de la Formation à la Citoyenneté et des Relations avec les Institutions de la République

LES JOURNALISTES DES RADIOS COMMUNAUTAIRES DU TOGO S'ENGAGENT À PROMOUVOIR LES DROITS DE L'HOMMEÀ Kara un atelier de for...
23/07/2024

LES JOURNALISTES DES RADIOS COMMUNAUTAIRES DU TOGO S'ENGAGENT À PROMOUVOIR LES DROITS DE L'HOMME

À Kara un atelier de formation destiné aux journalistes des radios communautaires du Togo s'est tenu les 22 et 23 juillet sous l'égide du Ministère des Droits de l’homme, de la formation à la citoyenneté et des relations avec les institutions de la République (MDHFCRIR). Cet événement a été officiellement ouvert par Maître Pacôme Yawovi Adjourouvi, ministre chargé des droits de l'homme, en présence du Colonel BAKALI Hemu Badibawu, préfet de la localité.

Selon le ministère, cette initiative s’inscrit dans les efforts continus du Togo pour promouvoir les libertés fondamentales et renforcer l'État de droit, en veillant à ce que Les droits de l’homme soient au cœur des programmes radiophoniques à travers tout le pays.

L'atelier, organisé en collaboration avec la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) avec l'appui financier du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), a pour objectif d’exhorter les radios communautaires à intégrer les thématiques des droits de l'homme dans leurs programmes éducatifs à l’endroit des auditeurs. Une trentaine de journalistes provenant de différentes régions du pays ont participé à cette formation.

Les radios communautaires, grâce à leur proximité avec les populations locales, jouent un rôle important dans la sensibilisation et l’éducation aux droits de l’homme. En renforçant leurs compétences, cet atelier vise par ricochet, à mieux informer et mobiliser les citoyens pour la promotion d’une culture de respect des droits fondamentaux et la participation citoyenne active des communautés.

Les participants ont reçu des formations sur les techniques de reportage sensible aux droits de l’homme, l’élaboration de programmes éducatifs, et les collaborations possibles avec les organisations de la société civile.

À la fin de l'atelier, des attestations de participation ont été remises aux bénéficiaires, au nom du ministre de tutelle, par Monsieur TALIM Anathère, Secrétaire général du ministère des droits de l'homme, qui a présidé la cérémonie de clôture. Les journalistes ont également présenté une déclaration liminaire dans laquelle ils se sont engagés à promouvoir les droits de l'homme dans leurs émissions. Ils ont formulé des recommandations à l'endroit du gouvernement et ses partenaires.

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CÉRÉMONIE D’HOMMAGE À MONSIEUR DJERI ADJAWÈ ADMIS À LA RETRAITELe Ministre des droits de l’homme, de la formation à la c...
28/06/2024

CÉRÉMONIE D’HOMMAGE À MONSIEUR DJERI ADJAWÈ ADMIS À LA RETRAITE

Le Ministre des droits de l’homme, de la formation à la citoyenneté et des relations avec les institutions de la République a offert, le jeudi 27 juin 2024, un cocktail d’au revoir à son directeur de cabinet, Monsieur Djeri Adjawè, admis à faire valoir ses droits à la retraite pour avoir atteint la limite d’âge à partir de 1er juillet 2024.

Cette cérémonie a été l’occasion pour tout le personnel du ministère de rendre un vibrant hommage à cette illustre personnalité qui a marqué le ministère depuis 2008. Monsieur Djeri n’a pas seulement été un leader exemplaire, mais aussi un mentor et une source d’inspiration pour le personnel. En outre, « son dévouement sans faille et sa capacité à guider notre équipe avec sagesse et compassion ont créé un environnement de travail où excellence et humanité coexistent harmonieusement », a témoigné le personnel du ministère.

Arrivé au ministère chargé des droits de l’homme en 2008, Monsieur Adjawè DJERI a occupé plusieurs postes stratégiques, à savoir: Chargé de mission, Conseiller technique et Personne Responsable des marchés publics.

LES CADRES DU MINISTÈRE DES DROITS DE L’HOMME FORMÉS SUR L’ÉLABORATION ET LA GESTION DE PROJETS.Le ministère des droits ...
31/05/2024

LES CADRES DU MINISTÈRE DES DROITS DE L’HOMME FORMÉS SUR L’ÉLABORATION ET LA GESTION DE PROJETS.

Le ministère des droits de l’homme, de la formation à la citoyenneté et des relations avec les institutions de la République (MDHFCRIR) a organisé, du 28 au 30 mai 2024 à l’hôtel AMOUKADI à Adetikopé, un atelier de formation sur l’élaboration et la gestion de projets.

L’objectif de cette formation est d’amener le personnel à améliorer la qualité d’élaboration, de gestion et de planification des projets. Elle vise, à terme, à contribuer à une meilleure réalisation des missions et objectifs stratégiques du ministère.
En effet, tout changement institutionnel, structurel ou socio-économique ne se réalise qu’à travers des projets pertinents. Ces projets constituent pour l’Etat des leviers importants de sa politique de développement. C’est à juste titre que le MDHFCRIR a trouvé nécessaire d’organiser cet atelier pour renforcer les capacités des directeurs centraux et des chefs de division à la maîtrise des techniques de conception et d’élaboration des projets de développement.
Pour ce faire, les experts formateurs, Monsieur ADJOKE Essossinam, consultant indépendant, et Monsieur AMEVO K. Degboetse, économiste au ministère de la planification du développement et de la coopération, ont développé quatre modules, à savoir : définition et typologie des projets, les différentes phases du processus d’élaboration d’un projet d’investissement public, l’élaboration du cadre logique, la Budgétisation.
En ouvrant cette rencontre, le ministre chargé des droits de l’homme, Monsieur Pacôme Yawovi ADJOUROUVI, a rappelé que la formation est nécessaire pour une administration efficace et efficiente dans l’implémentation des politiques publiques. Selon lui, la formation continue du personnel est nécessaire à la mise à jour des connaissances pour des résultats meilleurs. Il a aussi souligné que cette formation est une opportunité précieuse pour le développement individuel du personnel. Enfin il a indiqué les priorités actuelles du ministère en matière d’élaboration des projets d’investissement public (PIP).
Pour sa part, Dr KOUSSETOU Makonawé, directeur des affaires administratives et financières, a encouragé les bénéficiaires à y mettre du leur afin qu’au sortir de cet atelier, les résultats escomptés soient atteints pour plus d’efficacité du ministère.
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UN MANUEL D’ÉDUCATION À LA CITOYENNETÉ ENVIRONNEMENTALE VALIDÉ À TSÉVIÉ  Le Ministre Pacôme Yawovi Adjourouvi, chargé de...
23/05/2024

UN MANUEL D’ÉDUCATION À LA CITOYENNETÉ ENVIRONNEMENTALE VALIDÉ À TSÉVIÉ

Le Ministre Pacôme Yawovi Adjourouvi, chargé de la formation à la citoyenneté, a ouvert, ce jeudi 23 mai 2024 à Tsévié, l’atelier national de validation du manuel d’éducation à la citoyenneté environnementale.

Cet atelier est la phase ultime d’un processus entamé à Atakpamé en décembre 2023 par une résidence d’écriture dudit manuel qui avait réuni les experts du ministère chargé de l’environnement, de l’urbanisme, de l'Agence nationale d’assainissement et de salubrité publique (ANASAP) et des organisations de la société civile.

L’élaboration de ce manuel d’éducation à la citoyenneté environnementale se justifie par la nécessité, pour le ministère chargé de la formation à la citoyenneté, de contribuer à l’éducation des populations, notamment des enfants et des jeunes, face à l’ampleur des menaces qui pèsent aujourd’hui sur l’environnement et toute l’humanité et requièrent de chacun l’adoption de comportements et d’attitudes responsables. In fine, il s’agit de disposer d’un outil de sensibilisation et de formation illustré, rédigé dans un langage facile, à l’usage des enfants, des jeunes et de tous les acteurs qui s’intéressent aux questions environnementales.
C’est dans cet esprit qu’une équipe technique de neuf membres a rédigé le draft qui est soumis à cet atelier de validation pour amélioration afin de passer l’étape de l’impression.
Dans son discours d’ouverture, Monsieur Pacôme Yawovi Adjourouvi, Ministre des droits de l’homme, de la formation à la citoyenneté et des relations avec les institutions de la République, a défini le concept de l’environnement, avant d’énumérer les comportements humains qui le mettent en danger tels que l’abattage anarchique des arbres, les feux de brousse, la pollution des eaux et de l’air, l’insalubrité, le bourrage des caniveaux, la dégradation des sols, le braconnage... Il a aussi rappelé que l’Etat a l’obligation de veiller à la protection de l’environnement. « C’est dans cette optique qu’il a été voté, en 2008, la loi n°2008-005 portant loi-cadre sur l’environnement visant, notamment à préserver et gérer durablement l’environnement ainsi qu’à garantir, à tous les citoyens, un cadre de vie écologiquement sain et équilibré », a-t-il souligné. Il a aussi rappelé aux générations présentes et futures leurs responsabilités citoyennes en la matière et justifié la démarche du Gouvernement qui promeut l’éveil de conscience individuelle et collective, notamment à travers des contenus éducatifs à l’instar du manuel en cours de finalisation. Pour finir, le Ministre a encouragé les participants à fournir un travail de qualité.

De leur côté, Monsieur TALIM Anathère, Secrétaire Général du ministère chargé des droits de l’homme et Monsieur TCHAKPALA Alfa, Chef division séminaires et conférences à la Direction de la formation civique ont dans leur mot de cadrage placé l’activité dans son contexte et rappelé les différentes étapes déjà franchies puis les défis à relever lors de cet atelier.
Auparavant, Monsieur Kadévi Kodjo ETSE, Préfet de Zio, dans son mot de bienvenue et salué cette initiative citoyenne à fort impact.

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LES EXPERTS CONVIES A LA VALIDATION DU RAPPORT INITIAL DU TOGO SUR LES DISPARITIONS FORCÉES.Le ministère des droits de l...
03/05/2024

LES EXPERTS CONVIES A LA VALIDATION DU RAPPORT INITIAL DU TOGO SUR LES DISPARITIONS FORCÉES.

Le ministère des droits de l’homme, de la formation à la citoyenneté et des relations avec les institutions de la République a organisé, ce 3 mai 2024 à l'hôtel La Concorde à Lomé, un l'atelier de national de validation du rapport initial du Togo sur la mise en œuvre de la convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées.

En effet, en vue de permettre à notre pays de s’acquitter de ses obligations internationales et particulièrement celle de la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées à laquelle il a librement souscrit le 21 juillet 2014, le ministère chargé des droits de l’homme a initié plusieurs rencontres et ateliers avec les acteurs concernés dans le cadre du processus d’élaboration du rapport initial sur les mesures que le Togo a prises pour donner effet à ses obligations au titre de la présente Convention. Dans la suite logique de ce processus, les représentants des institutions de la République, les membres de la Commission interministérielle de rédaction des rapports et de suivi des recommandations sur les droits de l’homme (CIRR), ainsi que les représentants de la société civile ont été conviés pour finaliser le document de rapport soumis.
Cette démarche est aussi une occasion pour le Togo d’évaluer la protection des droits de l’homme, en général, et de toutes les personnes contre les disparitions forcées en particulier. Pour ce faire, les participants ont été répartis en deux groupes. Le premier a travaillé sur les informations générales et était composé de toutes les institutions de la République. Le deuxième groupe, composé des représentants de la justice, de l’armée, de la sécurité (…), a travaillé sur les articles du rapport.
Dans son discours d’ouverture, M. ODIE Kossi N’Kpako, Conseiller technique du ministre des droits de l’homme, a souligné que le Togo considère les disparitions forcées comme des crimes contre l’humanité. Il a rappelé l'article 29 de la Convention des Nations Unies, qui exige que chaque État partie présente un rapport sur ses actions conformément à la Convention dans les deux années suivant son entrée en vigueur pour cet État.
Il a rappelé aux participant que le concept de disparitions forcées se définit comme étant « l’arrestation, la détention, l'enlèvement ou toute autre forme de privation de liberté par des agents de l'État ou par des personnes ou des groupes de personnes qui agissent avec l'autorisation, le soutien ou l'acquiescement de l'État, suivi du déni de la reconnaissance de la privation de liberté ou de la dissimulation du sort réservé à la personne disparue ou du lieu où elle se trouve, la soustrayant ainsi à la protection de la loi ».
Pour sa part, le directeur de la législation et de la protection des droits de l’homme, M. Akpaou Abdoul-Gafaou, a indiqué que la rencontre de ce jour vient conclure un processus qui a débuté depuis longtemps. Pour lui, ce rapport initial revêt une particularité d’autant plus qu’il dresse l’état des lieux des dispositions juridiques du Togo en la matière. Il a, pour finir, encouragé les participants à se rendre disponibles.

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18/04/2024
LE PERSONNEL DU MINISTÈRE EDIFIÉ SUR LES DROITS DES FEMMES ET LE 8 MARS.Dans le cadre de la célébration de la journée in...
04/04/2024

LE PERSONNEL DU MINISTÈRE EDIFIÉ SUR LES DROITS DES FEMMES ET LE 8 MARS.

Dans le cadre de la célébration de la journée internationale des droits de la femme (JIF2024), le ministère chargé des droits de l’homme a organisé une journée de réflexion et d’échanges à l’intention de son personnel le 15 mars 2024. Cette rencontre s’est déroulée dans la salle de conférence de la direction des relations avec institutions de la République (DRIR) et a été présidée par le Secrétaire Général, M. TALIM Anathère.

Dans son discours d'ouverture, M. TALIM Anathère a mis en lumière le thème reformulé par le Gouvernement togolais, à savoir « Investir en faveur des femmes : renforcer l’inclusion financière et la représentation des femmes à la vie publique et politique » et qui tire toute son essence de celui des Nations Unies pour cette année : « Investir en faveur des femmes : accélérer le rythme ». Ce choix découle des efforts entrepris par le Togo en matière de promotion du genre et de lutte contre la pauvreté et en anticipation des élections législatives et régionales prochaines, où la participation des femmes doit être intensifiée, a-t-il soutenu. Il a aussi souligné l’importance de la lutte pour l'égalité des sexes, affirmant qu'investir dans les femmes est essentiel pour les droits humains et une société inclusive. Pour lui, les progrès en faveur des femmes bénéficient à l'ensemble de la société et leur cause est indispensable pour un développement durable et équitable.

À la suite du discours d’ouverture du Secrétaire Général, l’activité s’est poursuivie avec la présentation de deux communications suivies de débats. Il s’agit du « Message du Secrétaire Général de l’ONU à l’occasion du 08 mars 2024 : Quelle action commune en faveur des femmes » présenté par Monsieur OUBO O. M’bo, directeur du renforcement démocratique et président de la cellule focale genre. La seconde communication, « Investissons dans les femmes et les filles pour construire un avenir meilleur : Briser les barrières, Créer des chemins » a été présentée par M. Yendougou Adamou KOMBATE, Juriste au ministère chargé de la promotion de la femme.
Dans sa communication, M. KOMBATE a relevé que sur le plan économique il existe des financements innovants prenant en compte les besoins des femmes et des filles, afin de les intégrer en tant qu'actrices de développement à part entière. Il a évoqué les raisons qui motivent l'investissement dans les femmes et les filles, notamment la nécessité de leur donner des chances égales dans tous les domaines.

Pour conclure cette journée de réflexion, des recommandations ont été formulées pour soutenir davantage les initiatives économiques des femmes, promouvoir une meilleure protection de leurs droits et lutter contre les obstacles tels que la méconnaissance de leurs droits, le manque de confiance en soi et les inégalités domestiques.

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LES POPULATIONS DE DZREKPO ENCOURAGÉES À FAIRE ÉTABLIR LES ACTES DE NAISSANCE AUX NOUVEAUX NÉS Le ministère des Droits d...
03/04/2024

LES POPULATIONS DE DZREKPO ENCOURAGÉES À FAIRE ÉTABLIR LES ACTES DE NAISSANCE AUX NOUVEAUX NÉS

Le ministère des Droits de l'Homme, de la Formation à la Citoyenneté, et des Relations avec les Institutions de la République a organisé, le mercredi 20 mars 2024, dans le canton de Dzrekpo (préfecture de Vo), une journée d’échanges, d’informations, et de sensibilisation des acteurs communautaires sur le droit à l’identité, placée sous le thème « Droit à l’identité : nécessité de déclarer l’enfant dès la naissance ».

Cette rencontre a mobilisé des chefs de cantons, de villages et de quartiers, ainsi que les responsables de groupements de femmes, de jeunes, des parents d’élèves, des organisations de la société civile, des comités de développement à la base, des agents de l’état-civil et d'autres personnalités. Elle s'inscrit dans la dynamique de la feuille de route gouvernementale 2020-2025 et vise à contribuer à la promotion des droits des enfants à l’incitation des parents à déclarer leurs enfants dès leur naissance.

Dans son exposé sur le thème, le Directeur de la Promotion des Droits de l’Homme, Monsieur Djokoto Yao, a d’emblée défini le droit à l’identité et a situé l'assistance sur la situation des enfants privés d’actes de naissance. Soulignant l'importance de l'acte de naissance dans la vie d'un être humain, il est revenu sur les différentes étapes a suivre pour déclarer la naissance d’un nouveau née.

L’intervenant a aussi relevé les conséquences et les corrélations du non-enregistrement des naissances sur l’établissement des autres pièces d'identité telles que, le certificat de nationalité, la carte nationale d'identité, le passeport, le certificat de mariage, et le certificat de décès. Il a rappelé aux participants les différentes catégories de droits des enfants, ainsi que les difficultés auxquelles les parents sont confrontés lors de leur inscription à l'école ou pendant les périodes d'examens scolaires.

Pour finir, Monsieur Djokoto a encouragé les parents à déclarer leurs enfants à l'état civil de leurs localités respectives dans les 45 jours suivant leur naissance. Il leur a produgué un conseille essentiel a savoir, toujours se munir de leurs propre actes de naissance en se rendant à l'état civil afin d'éviter les erreurs souvent commises sur ce document des enfants.

Avant son propos, Monsieur Gabriel Minogblon Kodjo, Maire de la commune de Vo 3 et Monsieur Togbui Amegran-Ado IV, Chef canton de Dzrekpo se sont félicités de cette initiative qui répond aux préoccupations du conseil municipal et des gardiens des us et coutumes. Ils ont exhorté les acteurs à diffuser largement les informations reçues afin de résoudre tous les problèmes liés au non enregistrement des enfants.

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LA JEUNESSE TOGOLAISE SENSIBILISÉE SUR LE PATRIOTISME ET LA CULTURE DE LA PAIXDans le cadre de la mise en œuvre de la po...
02/04/2024

LA JEUNESSE TOGOLAISE SENSIBILISÉE SUR LE PATRIOTISME ET LA CULTURE DE LA PAIX

Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique nationale de formation civique et d’éducation à la citoyenneté et conformément au plan de travail annuel (PTA) 2024 de la direction de la formation civique, le ministère des droits de l’homme, de la formation à la citoyenneté et des relations avec les institutions de la République (MDHFCRIR) a organisé, du 19 au 28 mars 2024, une campagne de sensibilisation des jeunes au patriotisme et à la culture de la paix.
L’objectif de cette campagne, placée sous le thème « Préservons notre patrie, construisons ensemble la paix et la sécurité ! », est de contribuer à l’affermissement de la fibre patriotique chez les jeunes. Il s’agit de les amener à aimer la patrie et à s’engager véritablement pour la paix et la coproduction de la sécurité conformément à la vision de faire du Togo une nation paisible, forte et prospère.
Cette initiative se justifie par le contexte actuel marqué par le déficit patriotique constaté particulièrement chez les jeunes depuis l’enclenchement de notre processus démocratique, la menace terroriste qui pèse sur la sous-région et le Togo ainsi que la tenue, le 20 avril 2024, des élections législatives et régionales qui sont des périodes très sensibles exigeant des citoyens des comportements responsables pour préserver la paix.
Seize (16) préfectures ont été couvertes par la première phase de cette campagne, à savoir : Kpendjal, Kpendjal-ouest, Tône, Oti-sud, Doufelgou, Assoli, Bassar, Sotouboua, Anié, Amou, Danyi, Ogou, Haho, Moyen-Mono, Vo et Lacs.
Au total, huit cents (800) jeunes (cinquante par préfecture) parmi lesquels des étudiants, des élèves, des responsables de mouvements et associations, des membres des comités de développement à la base, des leaders d’opinion, des patrons et apprentis, des conducteurs de taxi-motos, ont été entretenus par les cadres de la direction de la formation civique (DFC) sur deux thèmes: « La culture de la paix en période électorale dans un contexte de crise sécuritaire » et « Le respect de l’autorité ».
Les cadres de la DFC, sous la coordination du secrétaire général du ministère, M. TALIM A. Anathère, ont d’abord rappelé aux jeunes leur rôle prépondérant dans la préservation de la paix, de l’intégrité et le développement du pays avant de les convier à intégrer dans leurs comportements quotidiens les valeurs propices à la paix telles que la non-violence, la tolérance, le dialogue, le fairplay, le respect de la loi, de l’autorité et des institutions de la République.
Ils les ont également exhortés à la vigilance, à la collaboration avec les forces de défense et de sécurité pour le maintien de la paix et de la sécurité ainsi qu’à une veille en matière de gestion de l’information en cette période de crise sécuritaire et d’élections afin de préserver notre pays de toute menace ou perturbation nuisible à son développement.
A l’issue de chaque séance, les participants ont eu droit à des dépliants résumant le message de la sensibilisation afin de leur faciliter le relai auprès de leurs bases respectives.

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ÉLÈVES DU LYCÉE DE ZANGERA SENSIBILISES SUR LE DROIT ET LE DEVOIR DE VOTELe 28 mars 2024, le Ministère des Droits de l’H...
29/03/2024

ÉLÈVES DU LYCÉE DE ZANGERA SENSIBILISES SUR LE DROIT ET LE DEVOIR DE VOTE

Le 28 mars 2024, le Ministère des Droits de l’Homme, de la Formation à la Citoyenneté, des Relations avec les Institutions de la République à travers la Direction du renforcement démocratique a organisé une Causerie démocratique au lycée de Zangera.

Cet événement avait pour objectif de sensibiliser les élèves sur les enjeux du droit de vote et de les encourager à exercer leur devoir civique dès l'âge de 18 ans. Il s’est agi, d’une manière générale, de contribuer à la formation d’une nouvelle génération de citoyens engagés, à jouer un rôle actif dans le développement de leur société et de leur pays, en leur fournissant les connaissances nécessaires sur le processus électoral et en les encourageant à exercer leur droit de vote. Le ministère les prépare ainsi à assumer leur responsabilité dans la construction d'une société démocratique, juste et prospère.

Pour parvenir à cet objectif, une communication sur le thème : « Perspectives électorales : les jeunes, le droit de vote et les élections » a été présentée par Monsieur AGANO Koffi Méléagbé, chef division chargé des relations avec les médias à la Direction de la formation civique. Il a centré son propos sur les perspectives électorales, mettant en lumière le rôle des jeunes dans le processus démocratique. Les élèves ont été instruits sur les principes fondamentaux des élections, soulignant leur caractère pluraliste, périodique, transparent et équitable. Ils ont également été édifiés sur les différentes étapes du processus électoral au Togo, ainsi que sur les institutions impliquées dans ce processus.

La causerie a été marquée par des débats offrant l'opportunité aux élèves de poser des questions pour clarifier leur compréhension. Une séance de questions-réponses a permis de récompenser les élèves les plus attentifs.

Le lancement de cette causerie démocratique avec les élèves de Zangera a été fait par Monsieur KOYE Akila, conseiller en Communication du ministre chargé des droits de l’homme, en présence du proviseur dudit établissement.

https://droitsdelhomme.gouv.tg/eleves-du-lycee-de-zangera-sensibilises-sur-le-droit-et-le-devoir-de-vote/

26/03/2024
Le Ministre des droits de l'homme, Pacôme Yawovi Adjourouvi, a entamé sa première visite officielle aux   du   par la Co...
12/03/2024

Le Ministre des droits de l'homme, Pacôme Yawovi Adjourouvi, a entamé sa première visite officielle aux du par la Commission nationale des droits de l'homme (CNDH) ce 12 mars 2024.
Le ministre a été chaleureusement accueilli par le Président de cette institution en présence des commissaires et du personnel. Ils l’ont félicité pour sa nomination et ont formulé des doléances visant à améliorer le fonctionnement de l'institution afin de lui permettre de garder son statut A acquis depuis 2000 et qui est réservé aux institutions ayant une véritable indépendance selon les principes de Paris.
En retour, le ministre a salué le professionnalisme avec lequel la mène son travail et a insisté sur la nécessité de disposer des institutions fortes. Il a assuré que les doléances exprimées seraient prises en compte et que des efforts seraient déployés pour y répondre dans la continuité du travail entamé par son prédécesseur Christian Eninam Trimua.
Cette réunion s'est déroulée dans une atmosphère conviviale et constructive.

Le Ministre des droits de l'homme, Pacôme Yawovi Adjourouvi, a entamé sa première visite officielle aux institutions de ...
12/03/2024

Le Ministre des droits de l'homme, Pacôme Yawovi Adjourouvi, a entamé sa première visite officielle aux institutions de la Républiques par la Commission nationale des droits de l'homme (CNDH) ce 12 mars 2024.
Le ministre a été chaleureusement accueilli par le Président de cette institution en présence des commissaires et du personnel. Ils l’ont félicité pour sa nomination et ont formulé des doléances visant à améliorer le fonctionnement de l'institution afin de lui permettre de garder son statut A acquis depuis 2000 et qui est réservé aux institutions ayant une véritable indépendance selon les principes de Paris.
En retour, le ministre a salué le professionnalisme avec lequel la CNDH mène son travail et a insisté sur la nécessité de disposer des institutions fortes. Il a assuré que les doléances exprimées seraient prises en compte et que des efforts seraient déployés pour y répondre dans la continuité du travail entamé par son prédécesseur.
Cette réunion s'est déroulée dans une atmosphère conviviale et constructive.

Le ministère des droits de l'homme a participé, aux côtés de la Secrétaire générale de la présidence de la République et...
08/03/2024

Le ministère des droits de l'homme a participé, aux côtés de la Secrétaire générale de la présidence de la République et certains membres du gouvernement, au lancement ce vendredi 2024, marquant la Journée internationale pour les droits des femmes, du nouveau rapport de la Banque mondiale sur « Les Femmes, l’Entreprise et le Droit » à l'hôtel de 2 février.

Ce jour a eu lieu à la salle de réunion de la direction des relations avec les institutions de la République, la cérémon...
07/03/2024

Ce jour a eu lieu à la salle de réunion de la direction des relations avec les institutions de la République, la cérémonie de passation de service entre M. Pacôme ADJOUROUVI, Ministre des droits de l’homme, de la formation à la citoyenneté et des relations avec les institutions de la République entrant et M. Christian Eninam TRIMUA, Ministre sortant en présence des membres du personnel du ministère.
La cérémonie a été présidée par le Secrétaire général du gouvernement adjoint M. Makre SKPANE qui a retracé le parcours élogieux des deux personnalités et transmis les instructions et les félicitations de la haute hiérarchie aux deux ministres.

Pour assurer une célérité dans la pratique administrative et le traitement de dossiers, le ministère des droits de l'hom...
15/02/2024

Pour assurer une célérité dans la pratique administrative et le traitement de dossiers, le ministère des droits de l'homme a opté pour l'implémentation d'une solution de gestion de documents. A cet effet, les 13 et 14 février, le personnel du ministère a bénéficié d'une formation assurée par les cabinets et spécialisés dans l'archivistique. Le processus a été soutenu par le Ministère de l'Economie Numérique et de la Transformation Digitale, Togo.

LES LEADERS D’OPINIONS DES RÉGIONS CENTRALE ET DE LA KARA SENSIBILISÉS SUR LE VIVRE ENSEMBLE Les leaders d’opinions des ...
19/01/2024

LES LEADERS D’OPINIONS DES RÉGIONS CENTRALE ET DE LA KARA SENSIBILISÉS SUR LE VIVRE ENSEMBLE

Les leaders d’opinions des préfectures de la Kéran, d’Assoli et de Tchamba ont été sensibilisés, du 08 au 12 janvier 2024, sur le vivre ensemble en vue du renforcement de la cohésion sociale, lors d’une tournée dans les préfectures des régions centrale et de la Kara.
Placée sous le thème : « Vivre ensemble et cohésion sociale : gage d’une paix durable dans notre préfecture », cette séance de causerie-débat est organisée par le ministère des droits de l’homme, de la formation à la citoyenneté et des relations avec les institutions de la République (MDHFCRIR) à travers la direction de la prévention des conflits.
Cette tournée de sensibilisation a pour but de contribuer au renforcement de la cohésion sociale dans les préfectures visées des régions de la Kara et centrale. Elle vise également à renforcer les capacités des chefs religieux, des groupements de femmes, des médias, des jeunes ainsi que les autorités locales des préfectures ciblées à la culture des valeurs du vivre ensemble pour la préservation de la paix dans ces milieux.
Il s’est aussi agi de recueillir les propositions des acteurs de ces préfectures en vue d’amener toute la population à cultiver au quotidien les valeurs du vivre ensemble pour renforcer la cohésion et la consolidation de la paix dans lesdites préfectures.
Au cours des rencontres, la directrice de la prévention des conflits du MDHFCRIR, madame Pauline DOKOU a entretenu les participants sur les préceptes d’une paix durable au sein des communautés dans une approche participative.
Au terme des cette causerie, l’assemblée a été unanime que l'acceptation de l'autre dans sa différence, le respect de l'autre, l'amour, la tolérance, le pardon, l'ecoute mutuelle sont, entre autres les valeurs à cultiver pour sauvegarder la paix prônée par le Chef de l’Etat.

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LES POPULATIONS ÉDUQUÉES AU RESPECT DES CITOYENS ET DE L’AUTORITÉ.Depuis le lundi 08 janvier 2024, a été lancée à Mango ...
19/01/2024

LES POPULATIONS ÉDUQUÉES AU RESPECT DES CITOYENS ET DE L’AUTORITÉ.

Depuis le lundi 08 janvier 2024, a été lancée à Mango une campagne nationale de formation des jeunes au patriotisme, au respect de l’autorité et à la valorisation des ressources locales. Cette activité s’étalera jusqu’au 19 Janvier et couvrira 20 préfectures du Togo.

Le ministère des droits de l’homme de la formation à la citoyenneté et des relations avec les institutions de la République, à travers la direction de la formation civique, veut ainsi contribuer à l’éradication de certains fléaux de la vie socio politique, notamment le mépris de certains concitoyens vis-à-vis de la loi et de l’autorité. La récurrence de ces comportements finit par travestir des lieux où se forge l’élite du pays, des centres d’incubation d’une relève, les écoles et les universités.
Dans toutes les localités concernées, deux communications sont présentées par les cadres de la Direction de la Formation Civique (DFC).
Au cours de cette campagne, 1050 jeunes scolaires et apprentis avaient pris une part active à la formation dont la première communication a porté sur le respect de la loi, des emblèmes et de l’autorité. Quant à la seconde communication, elle a été bâtie sur la valorisation des ressources locales dans le cadre de l’entreprenariat. La présentation de ces communications est appuyée par la mise à la disposition des participants et de leur structure de provenance des dépliants.
En prélude au lancement de cette campagne nationale, une émission radiophonique interactive animée le dimanche 07 janvier sur Radio Lomé permis d’annoncer l’événement et de situer l’opinion sur la quintessence de cette thématique dans la construction d’une Nation togolaise forte, unie et prospère.
L’activité a été lancée par M. ODIE Kossi N’Kpako, Conseiller technique du ministre. Qui a dans son discours, appelé les bénéficiaires à être attentifs afin de restituer les connaissances acquises à leurs camarades qui n’ont pas pu assister à la séance. Cette cérémonie de lancement a été aussi marquée par l'intervention de M. TALIM A. Anathère, Directeur de la formation civique, qui a saisi l’occasion pour exposer les motifs de l’activité. Il n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude aux autorités locales pour la mobilisation et les facilités offertes pour la réussite de cet événement. Par ailleurs, notons que le Préfet de l'Oti, le colonel Ouadja Gbandi Jacques a souhaité la bienvenue à la délégation et félicité le Chef de l'Etat et le Gouvernement pour les efforts consentis dans le cadre de la promotion du civisme.

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